Skip to content
Journalism Futures Fund

Fonds Avenir Médias

Le Fonds Avenir Médias est un fonds commun visant à appuyer le journalisme indépendant pour renforcer la vie civique et la démocratie au Canada.

Introduction

Le Fonds Avenir Médias a été créé par un groupe de fondations philanthropiques et de donateurs pour renforcer le journalisme indépendant au Canada.  

Le cycle inaugural du Fonds appuiera des petites ou moyennes organisations qui font du journalisme percutant, qui mobilisent leur public, qui sont dirigées par des membres de communautés mal desservies par les médias canadiens et qui sont résolument tournées vers l’avenir.

Les organisations retenues bénéficieront d’une subvention pluriannuelle et d’un soutien en renforcement des capacités visant à accroître leur résilience opérationnelle et financière et la mobilisation de leur public.

La Fondation Inspirit incubera et gérera le Fonds dans sa phase pilote, avec l’aide d’un groupe consultatif constitué de personnes des secteurs de la philanthropie et du journalisme. Les bailleurs de fonds et le groupe consultatif sont indépendants de toutes les décisions de financement, lesquelles sont prises par un jury indépendant. 

Le Fonds appuie les médias indépendants qui font du journalisme percutant, qui mobilisent leur public, qui sont dirigés par des membres de communautés mal desservies par les médias et qui sont résolument tournés vers l’avenir.

Modèle du Fonds

Le Fonds Avenir Médias offrira trois types de soutien :

En savoir plus sur le Fonds

Financement organisationnel

Financement pluriannuel aux dirigeant·e·s de médias pour renforcer leurs organisations et favoriser un journalisme percutant. Ouverture le 3 septembre 2025.

Financement par projet

Financement de projets dirigés par une ou plusieurs organisations. Les détails du volet seront communiqués en 2026.

Renforcement des capacités

Les bénéficiaires d’une subvention disposeront de moyens de renforcer leur résilience opérationnelle, la mobilisation de leur public, leur incidence, etc.

Critères d’évaluation du volet de Financement organisationnel :

L’écoute des communautés

Engagement clair à satisfaire les besoins d’information du public de l’organisation.

L’impact journalistique

Dossier journalistique qui influe véritablement sur la vie du public desservi.

Le leadership représentatif

Les principaux·ales décideur·euse·s de l’organisation proviennent de communautés mal desservies par les médias.

La planification de la durabilité

Intention claire de renforcer l’incidence journalistique, la résilience opérationnelle et la santé financière de l’organisation.

Volet de financement organisationnel

Qui peut présenter une demande ?

Les organisations journalistiques indépendantes qui sont constituées au Canada, qui font du journalisme original en français ou en anglais et qui respectent les codes de déontologie et d’éthique journalistique.

Montants du financement :

De deux à sept organisations journalistiques recevront des subventions triennales de 50 000 $CA à 200 000 $CA par année et auront accès à un soutien en renforcement des capacités. 

Dates clés :

Ouverture du volet financement organisationnel : le 3 septembre 2025 

Date limite pour les demandes initiales: le 29 septembre 2025 

Séances d’information :

Demande détaillée : Les candidats présélectionnés seront invités à soumettre leur dossier à l’automne.  Les candidats disposeront de cinq semaines pour soumettre leur demande. L’équipe du Fonds sera disponible pour les accompagner. Les finalistes seront invités à une entrevue avec le jury

Décisions de financement : février 2026

Langues officielles :

Nous acceptons les candidatures en anglais ou en français. 

We accept applications in English or French. 

Questionnaire d’admissibilité

Découvrez si votre organisation est admissible au volet de financement organisationnel

1. Questionnaire d’admissibilité 

 Le questionnaire d’admissibilité est autoadministré et prend deux minutes à remplir.  

2. Demande initiale 

Une série de questions à réponse courte sur l’organisation et son journalisme ; sa relation avec son ou ses publics ; ses points forts et ses axes d’amélioration ; et ses projets pour l’avenir. La demande initiale devrait prendre environ de deux à trois heures à remplir.

3. Révision indépendante 

Après une révision de diligence raisonable, toutes les demandes seront révisées par des examinateurs indépendants ; les candidats sélectionnés seront invités à soumettre une demande détaillée au Fonds.   

4. Demande détaillée 

Les organisations invitées à poser une demande détaillée devront fournir des informations détaillées sur leurs politiques internes, leurs finances, leur gouvernance, leur leadership, leur public et leurs projets futurs. Les candidats invités à cette étape recevront une rétribution pour leur temps.

5. Jury indépendant 

Les demandes complètes seront examinées par un jury indépendant. Une liste de finalistes présélectionnés seront invités à passer un entretien. 

6. Décisions de financement 

Les décisions de financement seront annoncées en février 2026. 

Besoin de soutien pour postuler ?

Demander un financement peut sembler intimidant, surtout si vous êtes novice en philanthropie ou si vous avez des besoins en matière d’accessibilité. Veuillez contacter jff-fam@inspiritfoundation.org pour obtenir des conseils, des aménagements ou toute autre forme de soutien. Nous sommes là pour répondre à vos questions et rendre le processus aussi simple et fluide que possible.

Demande initiale

Une fois que vous avez confirmé que votre organisation est admissible à postuler, accédez à la demande initiale.

Questions fréquemment posées : à propos du Fonds

Pour toute question ou demande de soutien, veuillez écrire àjff-fam@inspiritfoundation.org 

Le Fonds Avenir Médias a été créé par un groupe de fondations philanthropiques et de donateurs individuels au Canada, notamment la Fondation Euphrosine, la Fondation Inspirit, la Fondation McConnell, et la Fondation Sonor. Au cours de sa phase pilote (2025-2029), le FAM sera hébergé par la Fondation Inspirit, qui gérera le Fonds sous la supervision d’un groupe consultatif [LIEN] composé d’individus issus des secteurs philanthropique et journalistique. Les bailleurs de fonds et le groupe consultatif ne participent pas aux décisions de financement.   

Les décisions en matière de financement seront prises par un jury indépendant composé d’individus issus du secteur journalistique. Les bailleurs de fonds ne prennent pas part aux décisions relatives au financement. 

Le Fonds Avenir Médias comporte actuellement deux volets : un volet de financement organisationnel, qui ouvrira à l’automne 2025, et un volet de financement par projet, qui sera annoncé en 2026. 

Le premier cycle de financements du Fonds sera ouvert aux organisations journalistiques indépendantes qui sont constituées au Canada, produisent du journalisme original en français ou en anglais, et respectent les lignes directrices en matière d’éthique journalistique. Vous pouvez remplir un bref questionnaire d’admissibilité ici.

Questions fréquemment posées : À propos du volet de financement organisationnel

La première étape consiste à remplir un bref questionnaire d’admissibilité. Si votre organisation est admissible à présenter une demande auprès du Fonds, vous pourrez ensuite remplir la demande initiale (DI). Celle-ci peut être soumise jusqu’au 29 septembre 2025. Après la révision des DI reçues, certaines organisations seront invitées à présenter une demande détaillée auprès du Fonds en automne 2025. 

Téléchargez ici un PDF des questions de la demande pour le cycle inaugural du Fonds.  

Note : les demandes doivent être complétées via le portail de candidature. 

Dans son cycle inaugural, le Fonds sélectionnera de deux à sept organisations journalistiques. 

Les organisations financées dans ce cycle inaugurale recevront des financements triennales de 50 000 $CA à 200 000 $CA par année. Ces organisations auront aussi accès à un renforcement des capacités pendant la période d’octroi de financements. 

Veuillez noter : les organisations peuvent se voir accorder un montant inférieur à celui demandé. Le montant final accordé dépendra des décisions du jury, du statut d’incorporation et des modalités de l’entente de financement. Les organisations enregistrées en tant qu’entreprises à but lucratif peuvent être soumises à des taxes applicables qui seront incluses dans le montant total du financement. 

Le Fonds accorde la priorité aux demandeur·euse·s dont l’équipe compte de un·e à dix membres (employé·e·s ou pigistes) et le budget est inférieur à 1 000 000 $CA. 

Nous entendons des communautés qui sont souvent sous-représentées, mal représentées ou ignorées dans les médias, et qui reçoivent des niveaux de financement et de soutien nettement inférieurs en tant que journalistes ou médias, particulièrement en comparaison avec leur poids démographique ou leur importance sociale. Cela peut inclure, par exemple, les communautés noires et les autres communautés racialisées, les peuples autochtones (Premières Nations, Inuit et Métis), les nouveaux·elles arrivant·e·s, les travailleur·euse·s migrant·e·s, les réfugié·e·s et les demandeur·euse·s d’asile, les communautés à faible revenu, les personnes 2ELGBTQIA+, les personnes handicapées et les personnes vivant dans des régions nordiques, rurales ou éloignées. 

Oui, les bénéficiaires du Fonds devront soumettre des rapports périodiques sur l’utilisation des fonds reçus, à des fins de reddition de comptes et d’apprentissage. Cela pourra inclure des rapports financiers, ainsi que des rapports écrits ou oraux décrivant les activités réalisées et les étapes franchies. Les bénéficiaires seront également tenus de participer aux activités d’évaluation du Fonds. 

Le Fonds Avenir Médias y compris ses bailleurs de fonds, son groupe consultatif et les membres de son jury n’approuvera, n’influencera, ne révisera et ne vérifiera pas le contenu produit par les titulaires d’un financement avant ou après la publication.   

Les bénéficiaires d’un financement doivent respecter les lignes directrices établies en matière d’éthique journalistique, comme les lignes directrices en matière d’éthique de l’Association canadienne des journalistes ou le Guide de déontologie de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec.  

Conformément aux pratiques exemplaires en matière de financement du journalisme, Le Fonds Avenir Médias divulguera publiquement les noms des bénéficiaires d’un financement, qui devront aussi divulguer publiquement le soutien reçu de la part du Fonds. 

Le Fonds Avenir Médias a été doté d’une contribution initiale de 3,15 M$ provenant de quatre fondations et d’autres donateurs.

Partenaires fondateurs

Comité consultatif

Asmaa Malik

Asmaa Malik est professeure de journalisme à l’Université métropolitaine de Toronto. Ses intérêts en matière de recherche et d’enseignement sont axés sur l’équité et l’innovation dans le domaine du journalisme et sur les approches collaboratives à l’égard de la supervision des diplômé·e·s.

Elle est co-bénéficiaire du financement des initiatives de Google Actualités visant à mettre au point un outil alimenté par l’intelligence artificielle (IA) qui évalue les sources des nouvelles, et elle travaille sur un projet financé par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) visant à étudier les expériences de journalistes musulman·e·s dans les salles de rédaction au Canada. Elle a occupé plusieurs postes de direction de salles de presse à la Gazette de Montréal et au Toronto Star, et son travail a aussi été publié dans le Washington Post, le Walrus et La Conversation.

Fabrice Vil

Fabrice Vil prend régulièrement parole au sujet de questions sociales et philosophiques variées, notamment comme auteur, chroniqueur à La Presse, conférencier et facilitateur d’ateliers en entreprise.

Il collabore parfois avec Radio-Canada et a prêté sa voix à Ados et armés et Briser le code, deux documentaires explorant respectivement les enjeux de violence armée et d’enjeux raciaux et interculturels au Québec. Après avoir écrit dans trois ouvrages collectifs traitant d’éducation, de racisme et de questions identitaires au sein de la génération Z, Fabrice a signé son premier livre, Bon gason! Konpliman! Egare!, qui explore des sujets tels que la quête de réussite et la découverte de soi. Fabrice est coach certifié en développement intégral, avocat de formation et anciennement entraîneur de basket-ball.

En 2011, il a fondé Pour 3 Points, un organisme qui transforme les coachs sportifs afin qu’ils jouent également un rôle de coachs de vie auprès des jeunes sportifs en milieux défavorisés. C’est à ce titre qu’il a développé ses connaissances liées à la philanthropie, le secteur social et la gouvernance d’entreprises.

Francine Compton

Francine Compton (Anishinaabe, Première Nation Ojibway de Sandy Bay), une journaliste comptant plus de 25 ans d’expérience, est actuellement codirectrice de l’Indigenous Journalists Association (IJA) (auparavant la Native American Journalists Association). Son travail met l’accent sur le maintien des normes et des pratiques en matière de journalisme autochtone à l’échelle internationale tout en communiquant la mission de l’IJA au public.

Francine a travaillé au sein de l’unité autochtone de CBC en tant que réalisatrice aux affectations avant de se joindre au personnel de l’IJA. Elle a passé plus de 20 ans de sa carrière à travailler pour le Réseau de télévision des peuples autochtones (APTN); elle était cheffe de production du bulletin de nouvelles d’APTN lorsqu’elle a quitté son poste pour entrer en fonction à CBC.

Kaila Jefferd-Moore

Kaila Jefferd-Moore est une journaliste haïda et canadienne, passionnée de radio et de balados, et consultante en médias vivant à Somba K’e dans le Denendeh, un territoire visé par le Traité no 11. Kaila a grandi à Inuuvik et obtenu un baccalauréat spécialisé en journalisme de l’Université de King’s College. C’est là qu’elle a commencé à travailler comme journaliste indépendante et qu’elle a occupé le poste de rédactrice en chef de la Dalhousie Gazette. Ses expériences professionnelles et publications comprennent des médias locaux et nationaux comme Inuvik Drum (NNSL), CBC North, Maisonneuve, The Coast, THIS Magazine, Up Here, IndigiNews, etc.

Elle est directrice de projet et cocatalyseur de la Northern Journalism Training Initiative, qui offre des formations en médias dans le Nord.

Mary-Lynn Young

Mary-Lynn Young est professeure, mentore certifiée, pédagogue, chercheuse et cofondatrice de La Conversation Canada, un organe de presse à but non lucratif. Étudiante du « cursus de la vie », elle est déterminée à prendre des mesures qui soutiennent les générations futures. Dans sa carrière professionnelle, elle a notamment été journaliste au Canada et aux États-Unis, administratrice (directrice et doyenne associée) et professeure et mentore en leadership à l’Université de la Colombie-Britannique.

Elle a cosigné deux livres, dont Reckoning: Journalism’s Limits and Possibilities (Oxford University Press, 2020) avec la Prof. Candis Callison. Leur livre figure sur la liste de lectures recommandées sur le journalisme dressée par le Reuters Institute for the Study of Journalism de l’Université d’Oxford. En 2026, elle achèvera un projet de recherche co-dirigé de sept ans, doté d’une subvention de 2,5 millions de dollars obtenue par voie de concours, sur l’innovation dans le domaine du journalisme. La subvention offre du financement de recherche à La Conversation Canada et appuie un vaste éventail de projets menés par des universitaires dans trois pays qui examinent le journalisme explicatif et son rapport aux politiques, au journalisme autochtone, au public, aux technologies et aux médias.

Elle est mariée et mère d’une fille.

Narinder Dhami

Narinder a été reconnue comme une des 40 Canadien·ne·s performant·e·s de moins de 40 ans et comme dirigeante responsable de la Fondation BMW. Son travail couvre plusieurs secteurs et silos, apportant profondeur et rigueur pour stimuler les retombées sociales en Amérique du Nord et dans les pays du Sud. Elle est présidente de la Fondation Sonor et fondatrice de New Power Lab. Narinder a créé, conçu et adapté des entreprises sociales dans le monde entier.

En partenariat avec le Boston Consulting Group (BCG), elle a conçu et dirigé le LEAP | Pecaut Centre for Social Impact, un fonds philanthropique entrepreneurial. De concert avec l’Université de Toronto et le Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH), elle a été directrice générale fondatrice et architecte de Rise, un microfonds pour les entrepreneurs ayant des problèmes de santé mentale et de dépendance.

Elle a aussi créé un fonds d’investissement d’impact spécialisé ayant une optique de genre et d’équité. Narinder a travaillé dans les domaines de la microfinance et de l’investissement d’impact en Afrique occidentale et donné des conférences à l’Université de Ryerson et à l’Université de Toronto. Elle siège à plusieurs conseils et oriente plusieurs entreprises.

Niamh Leonard

Niamh Leonard est avocate et dirige la Fondation Euphrosine, une fondation philanthropique à durée déterminée qui vise à renforcer les espaces — juridiques, numériques et culturels — où s’exerce la participation démocratique et où ceux au pouvoir doivent rendent des comptes.

Son parcours conjugue droit, gouvernance et philanthropie, avec des rôles au sein de la Fondation McConnell, L’Apathie c’est plate, Transparency International Canada, Trudel Johnston & Lespérance, et la Cour constitutionnelle d’Afrique du Sud. Pour son engagement en faveur de l’égalité, Niamh a reçu le prix Rosalie Silberman Abella de la Société royale du Canada.

Niamh s’intéresse à la gouvernance publique, à la prise de décision collective et aux façons dont les sociétés diversifiées peuvent se gouverner dans le respect de leurs différences. Elle croit en un monde où chaque personne a son mot à dire sur les conditions dans lesquelles elle vit — et la liberté de vivre avec joie.

Sadia Zaman

Sadia apporte à son poste de PDG de la Fondation Inspirit une riche expérience dans les domaines de l’art, des médias et des organisations à but non lucratif.

Avant d’entrer en fonction à Inspirit, Sadia était directrice générale au Musée royal de l’Ontario (ROM), où elle se concentrait sur le contenu numérique et les récits autochtones. Avant le ROM, Sadia a commandé des projets documentaires et d’actualité partout au pays en tant que directrice du Développement de programmes originaux de CBC News and Centres. Elle a aussi dirigé Women in Film and Television-Toronto (WIFT-T), une organisation à but non lucratif qui appuie la formation et l’avancement des femmes dans le secteur audiovisuel.

Sadia a commencé sa carrière comme journaliste, créant des centaines d’heures de contenu documentaire et d’actualité original primé pour Vision TV, CBC et TVO. Elle a remporté des dizaines de récompenses pour son journalisme et a été honorée pour son leadership. Elle siège à de nombreux jurys et comités consultatifs et est souvent invitée à prendre la parole au sujet des médias, de l’inclusion, du genre et du leadership.

Tamer Ibrahim

Tamer Ibrahim est gestionnaire de programmes, Projets et partenariats, à la Fondation McConnell. Au cours des douze dernières années, il a travaillé dans le domaine philanthropique, utilisant les capitaux comme outil de changement positif, surtout pour les communautés dignes d’équité. Cet accent a guidé son travail à la Laidlaw Foundation, à la Fondation Definity et à la Fondation pour les communautés noires.

Tamer a aussi été conseiller pour plusieurs programmes de financement, notamment le programme Communautés en faveur d’une transition socioécologique de l’Institut Tamarack, la subvention pour action communautaire de la MLSE Foundation et la Northern Manitoba Food, Culture and Community Collaborative. Il a aussi fait partie du comité directeur du Groupe de travail sur la réforme du financement (GTRF) d’Imagine Canada, qui contribue à promouvoir des pratiques de financement plus équitables dans le secteur.

Glossaire

Le Fonds accorde la priorité aux communautés sous-représentées dans la direction des salles de presse et mal desservies dans la couverture médiatique. À cette fin, le Fonds accorde la priorité aux organisations desservant les groupes ci-dessous et/ou étant dirigées par eux : 

  • les communautés noires ou autres communautés racialisées;  
  • les peuples autochtones (Premières Nations, Inuit et Métis);  
  • les nouveaux·elles arrivant·e·s, les travailleur·euse·s migrant·e·s, les réfugié·e·s et les demandeur·euse·s d’asile; 
  • les communautés à faible revenu;  
  • les personnes 2ELGBTQIA+;  
  • les personnes handicapées; 
  • les personnes vivant dans des régions nordiques, rurales ou éloignées. 

Journalisme fait par des organisations qui ne sont pas des médias du gouvernement et qui n’appartiennent pas principalement ou majoritairement à une société cotée en bourse, à un groupe de plaidoyer, à un groupe religieux, à un parti politique, à un fonds spéculatif ou à une société de financement par capitaux propres. 

Reportages, articles, enquêtes, portraits, entrevues, analyses ou commentaires fondés sur des faits, rédigés, recherchés, édités et mis en forme par et pour l’organisation. Le journalisme original n’inclut pas les reprises de communiqués de presse ou de dépêches d’agence largement inchangés. 

Personnes qui prennent les décisions concernant la ligne éditoriale, les activités et la gouvernance d’une organisation journalistique. 

Organisations agissant comme sources d’information fiables pour les communautés qu’elles desservent en répondant toujours à leurs besoins et intérêts. Ces organisations répondent aux questions qui comptent le plus pour leur public et ont fait leurs preuves quant à leur profond engagement et à leur réactivité à l’égard de leurs communautés. 

Le Fonds accorde la priorité aux organisations qui font du journalisme depuis au moins un an; il ne s’agit pas d’un fonds de démarrage visant à lancer de nouveaux projets. Les organisations doivent être des organisations journalistiques enregistrées, à but non lucratif ou à but lucratif qui sont constituées en personne morale. 

Le Fonds Avenir Médias accepte les demandes des organisations journalistiques menant leurs activités sur toute plate-forme, y compris notamment les formats numériques (sites Web, bulletins d’information, balados, réseaux sociaux, etc.) et imprimés (journaux, revues, etc.), la télévision et la radio. 

Outre l’octroi de financements, le Fonds offrira du soutien dans des domaines comme les opérations, l’engagement du public, les modèles d’adhésion, la collecte de fonds et plus encore. Les priorités en matière de formation seront déterminées par les bénéficiaires du Fonds. 

Vous avez des questions ? Contactez-nous.

Pour plus d’informations, veuillez contacter jff-fam@inspiritfoundation.org.